Jeudi 15 février, lendemain de Saint Valentin pour certains et lendemain tout court pour d’autres. Pour Kygo, c’était l’occasion de réitérer ce qu’il avait fait la veille, et ce, pour notre plus grand plaisir ! Arrivés au Zénith de Paris vers 20h, il nous aura fallu moins d’une petite minute pour rentrer afin de se commander une collation pour LA soirée Chill de ce début d’année. Retour sur ce concert qui nous aura clairement marqué.
Petite introduction avec l’Américain Griffyn venu délivrer son set mélodique aux quelques 6000 spectateurs présents. Une demi-heure aux échos Future Bass et House, ponctuée de ses hits comme Feel Good (produite avec le célèbre Illenium) ou encore Love In Ruins. Un premier en-cas goûtu pour un repas qui s’annonçait plus que copieux. 20h30, arrivée du jeune roi de la Tropical House. Les fêtards acclament son entrée et c’est parti pour une heure et demi de spectacle bien garni.
Petite particularité de la soirée : des bracelets connectés nous étaient donnés à l’entrée et émettaient de la lumière en temps réel, coordonnée avec la musique. Un vrai régal visuel, d’autant plus que la scène, en forme de croix, était surélevée et agrémentée d’un matériel lumineux franchement époustouflant. Kygo, surplombant l’immense salle du Zénith, avait tout l’air un Dieu : l’artiste possèdait en plus un matériel impressionnant, disposé tout autour de lui ! Les jeux de lumière étaient à vous faire une douce crise d’épilepsie et le public, plus que chaud, lui a bien rendu. Quel jeudi d’anthologie !
Crédit photo : S.Camelot
De Stole The Show à It Ain’t Me tout en passant par le remix d’I See Fire, c’est la quasi totalité des classiques du Norvégien qui nous a léché les tympans toute la soirée. Mais pas que : plusieurs chanteurs sont venus interpréter leur single en collaboration live avec Kygo ! On a ainsi assisté à l’arrivée de Conrad Sewell pour chanter sur Firestone, de Justin Jesso sur Stargazing, de Bonnie McKee pour This Town et encore quelques autres. Malheureusement, Selena Gomez ne sera pas venue nous interpréter son featuring… étonnant, non ?
Crédit photos : S.Camelot
Puis, une petite pause de la part de Kygo pour nous remercier d’être là et aussi nombreux s’est imposée : il est vrai qu’il n’est pas très bavard lors de ses shows et on le remerciera nous-aussi de ce bref temps-mort à notre égard. L’occasion aussi pour lui de jouer l’acoustique de Firestone au piano, avec un silence des plus absolus dans la salle. On a rarement vu cela et c’était honnêtement très, très beau.
La star a finalement conclu sur Kids In Love, feux d’artifice et confettis en accompagnement : de quoi laisser des étoiles plein les mirettes. Il était donc 23h lorsque le concert s’est terminé : plus émus que fatigués, on ressort surpris par la prestation cette soirée. On reviendra à coup sûr : chapeau l’artiste.
Crédit photo : S.Camelot